Les navires accostent dans le port d'une petite ville située à 70 km de la capitale. Civitavecchia n'a rien d'un port charmant, bien que des efforts paysagistes soient notables. C'est le port qui vous ouvrira aux beautés historiques de Rome. Aujourd'hui, la « ville éternelle » fondée en 753 avant Jésus-Christ par Romulus est la plus grande des capitales européennes et abrite le siège de l'Église catholique: le Vatican.
Il faut plus, d'une heure pour rejoindre Rome, louer une voiture est fortement déconseillé; le trafic pourrait vous faire rater votre embarquement. Le mieux est de prendre le train ou les bus navettes que les compagnies peuvent mettre en place. Pour se rendre à Rome en train une navette gratuite est à votre disposition pour sortir du port en cinq minutes et vous déposez à l'entrée de la ville de Civitavecchia.
Marchez pendant 10 minutes avec la mer sur votre droite et vous verrez la gare sur le trottoir de gauche, si vous êtes perdus demander « la Stazione ». Il faut descendre à la gare de San Pietro, proche du Vatican dont le dôme est visible depuis la gare. La durée du trajet varie entre 30 et 45 minutes et les annonces dans le train indiquent le nom des stations desservies ; ce qui est rassurant pour les anxieux. Vous pouvez vous rendre à pied au Vatican et commencer votre visite. La place Saint-Pierre sera probablement noire de monde mais son obélisque, ses colonnes, ses statues, ses deux fontaines seront toujours visibles. Croyant ou non il émane quelque chose de très particulier de ce lieu Saint. Si le pape n'est pas au balcon c'est que vous n'êtes pas sur le bon jour de son apparition.
Si vous voulez voir le Vatican ne faites pas autre chose et réservez un coupe file sur le site du musée pour éviter de faire la queue , et dans ce cas vous verrez la Chapelle Sixtine et les fresques incroyables de Michel-Ange.

Vous ne pourrez pas tout visiter, prenez un bus panoramique pour visiter les points les plus importants. Si Rome ne s'est pas faite en un jour, vous ne pourrez pas la visiter non plus en un jour. Il y a tant de choses à voir; cette ville foisonne de sites touristiques majeurs. Si vous êtes un bon marcheur, vous pouvez traverser Rome mais certainement pas vous arrêter et voir le Colisée, car cela prendrait trop de temps.
C'est un véritable chef-d'œuvre avec ses trois niveaux d'arcade où se mêlent les trois ordres ; dorique, ionique, corinthien. Son amphithéâtre de forme elliptique pouvait accueillir 50 000 personnes pour les duels de gladiateurs et les courses de chars ainsi que des combats d'animaux. Donc, vous reviendrez probablement à Rome, c'est certain. Marchez sur la via Corso, cette grande artère commerciale, sans vous attarder devant les vitrines, car votre objectif est de vous rendre à la fontaine de Trevi immortalisée dans le film culte de Fellini: la Dolce Vita. Vous pourrez toujours continuer vers la Piazza di Spagna dominée par l'église française de la Trinité des Monts et flanquée de la Villa Médicis siège de l'académie de France à Rome. À votre retour sur la même avenue via del Corso vous pourrez, peut-être voir le Panthéon, un chef-d'œuvre de l'Antiquité très bien conservé. La Piazza Navona est à deux pas, c'est la place la plus célèbre de Rome. Cet havre de fraîcheur est réservé aux piétons et les Romains aiment à s'y retrouver. Si vous voulez vous rendre au Foro Romano il faudra prendre la Via dei Fori Impériali, ces vestiges résument 12 siècles d'histoire. Bas-relief de Trajan, temple de Castor et Pollux aux temples de Saturne et bien d'autres encore ; tous jouxtent la grandiose basilique de Maxence. On peut accéder à l'une des plus mythiques des 7 collines qui fait parti du site défensif où s'est développé Rome ; le Palatino. C'est une très agréable longue promenade parsemée de nombreux arbres. La vue y est superbe. Mais il est temps de remonter à bord et de reprendre le train, des images plein la tête, des sensations fortes, et la certitude de revenir un jour et peut-être même à l'occasion d'une nouvelle escale.

Depuis les terrasses de la basilique Notre-Dame de la Garde, qui domine et veille sur la cité, Marseille offre au regard une mosaïque inattendue de constructions et de monuments. Non loin du Vieux port, animé et très coloré, les ruelles du quartier du Panier dotent la cité d’un charme incontesté. Mais la cité phocéenne a de nombreuses rivales toutes proches avec Aix, la cité animée et bourgeoise, Arles et ses vestiges romains sans parler des Baux de Provence, de la Camargue et du Lubéron chantés et peints par tous les artistes amoureux de cette terre.